Mercredi on commence à fatiguer donc on prend un ticket RTM 24h. Solène et Melisa s’occupent de tout, les adultes sont tellement en roue libre qu’ils ne pensent pas à faire des photos avant l’arrivée.

Depuis le temps qu’on en parle, on y est enfin . Les jeunes sont surexcités mais grosse déception : on a mal regardé le site et il n’y a pas de visite hors vacances scolaires. Les adultes de nos jours on peut plus rien leur demander…

On fait quand même le tour du stade parce que Lucie est persuadée qu’on va trouver une porte mal fermée à l’arrière. L’ambiance est lourde, les jeunes sont minés par la déception.

Au passage on repère des artistes émergents de l’avant-garde locale.

On va quand même faire un tour à la boutique, droit au but !

Enfin presque…

La boutique c’est trop cher mais c’est quand même l’occasion de s’y croire un peu.

Matis est déçu mais il est motivé pour rebondir sur le musée d’art contemporain. Ça c’est de l’adaptation !

« Du coup demain je remettrai le maillot de l’OL ». Pendant ce temps Yanis compte les arrêts avec application.

On arrive donc au MAC où chacun déambule. On prend des photos,.

On prend des photos de gens qui prennent des photos.

On prend même des photos de gens qui prennent des photos de photos.

Entre deux photos on débat ferme sur l’interprétation des œuvres !

On termine en sacrifiant au rituel et chacun pose devant son œuvre favorite.




On repart en bus puis en métro, cette fois on pense à faire des photos.


Comme on a pas pu entrer au stade on a le budget pour une visite supplémentaire.

On plonge sous la mer…

et on part explorer la grotte Cosquer et ses peintures rupestres.

On profite ensuite de la partie musée mais on sent une baisse d’énergie.

Les filles font un peu de lèche-vitrines dans les bijouteries préhistoriques mais le cœur n’y est plus.

Même Lucie décroche.

Yanis est à deux doigts de ronchonner. Il nous faut un plan de secours vite.

Une glace en bord de mer ! On en rêve tous depuis le début du séjour, après toutes ces aventures on l’a bien méritée.

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